1er degré - 26 avril : la reprise ne doit pas se faire sans moyens !
Une catastrophe prévisible
La dégradation de la situation sanitaire et la montée des contaminations chez nos élèves et les personnels ont obligé le ministre Blanquer à mettre en œuvre ce qu’il se refusait de préparer depuis un an : la fermeture des établissements et le regroupement des zones de vacances de printemps.
Pour la CGT Éduc’action, s’il fallait bien sûr tout faire pour éviter la fermeture des écoles, il fallait pour autant s’y préparer si la situation épidémique se retrouvait hors de contrôle.
Or, du fait de l’impréparation manifeste du ministère, les personnels ont dû à nouveau subir les ratés de la « continuité pédagogique ».
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