Un an après, il n’y a toujours rien de prêt
Alors que plus d’un an s’est écoulé depuis la première vague, le gouvernement comme le ministre de l’éducation nationale continuent de gérer la situation à la petite semaine. Mais ils ne peuvent plus se cacher derrière le prétendu caractère "imprévisible" de la situation, cas ils ont ignoré les alertes multiples des organisations syndicales et des personnels, refusé de mettre en œuvre la politique et les choix permettant de répondre à la situation.